Aujourd'hui donc, comme l'indique le titre était LA journée de merdas par exellence. Déjà c'était un lendemain de soirée (de deux soirées en fait) (une le samedi, et une le dimanche, vous suivez ?). Donc qui dit lendemain de soirée, dit réveil plus ou moins difficile (ici plus moins, que plus). Enfant, halloween était synonyme de bonbons et maux de ventre, passé ce stade, c'est plus synonyme de syrose et gueule de bois. Et de déguisements qui ont pas grand chose d'effrayant (lapine, écolière sexy, ange qui n'a rien d'angélique..) Enfin bref, je m'éloigne du sujet là. Après avoir émergé à l'aide d'un bon café, je me rappelle que j'ai un programme relativement chargé (révisions-ménage-préparation-sortie). Consciensieuse, j'ouvre donc mon bouquin de philo, me calle sur mon lit et...m'endors. Etape numéro une complétement foirée, donc. Ce que je ne savais pas encore à cet instant était que toutes les autres étapes allaient l'être aussi, pour cause de contamination par ma soeur, malade comme un chien. Donc mon programme trop bien de la journée c'est transformé en après-midi télé, sans même pouvoir manger quoi que ce soit : merci estomac en vrac. Ni même fumer, vu que j'arrête. Sisi, c'est parfaitement sérieux. On verra bien combien de temps je vais tenir hein (record précédent : 7 jours). Mais au moins, j'ai pu regarder Dirty Dancing avec un merveilleux thé à la menthe.
Oui je sais, c'est le film culte, que tout le monde à déjà vu/entendu parlé. Mais j'adore. Comme tous les films de danse d'ailleurs. Je sais pas pourquoi en fait. Ca me transporte, ça me donne la pêche. Et si en plus il y a une histoire d'amour derrière, alors là... (Ca ne se voit pas aux premiers abords, mais je suis une grande romantique, au fond !)
Je me rend compte en le relisant que cet article devient du grand n'importe quoi, il faudrait vraiment que j'apprenne à organiser mes idées, un jour. Donc je vais m'arrêter là, et laisser le clavier à Cey.
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